Ôðàíöóçñêèé øóòÿ. 200 àíåêäîòîâ äëÿ íà÷àëüíîãî ÷òåíèÿ Ðîçåíêîâà Îëüãà

– Bonjour, qu’est-ce qui ne va pas (÷òî ñëó÷èëîñü: «÷òî íå èäåò = ÷òî íå òàê»)?

– C’est mon mari (ýòî âñå ìîé ìóæ), il se prend pour une chvre (îí âîîáðàæàåò ñåáÿ êîçîé) chaque fois (êàæäûé ðàç) que je me dshabille (êàê ÿ ðàçäåâàþñü)!

– C’est curieux (ýòî ëþáîïûòíî). Voulez-vous bien vous dshabiller (íå ìîãëè áû âû ðàçäåòüñÿ: «õîòèòå âû…»)?

La femme se dshabille (æåíùèíà ðàçäåâàåòñÿ).

Et le mdecin:

– Beeeeeeeeeeeeeeh!

Ue paysanne se rend chez son mdecin.

Le mdecin:

– Bonjour, qu’est-ce qui ne va pas?

– C’est mon mari, il se prend pour une chvre chaque fois que je me dshabille!

– C’est curieux. Voulez-vous bien vous dshabiller?

La femme se dshabille.

Et le mdecin:

– Beeeeeeeeeeeeeeh!

Une grosse dame (äàìà êðóïíûõ ðàçìåðîâ/êîðïóëåíòíàÿ äàìà; gros – òîëñòûé) arrive chez le mdecin (ïðèõîäèò ê äîêòîðó) avec sa ravissante fille (ñî ñâîåé î÷àðîâàòåëüíîé äî÷åðüþ; ravir – ïîõèùàòü, óíîñèòü; óâîäèòü ñèëîé; âîñõèùàòü, î÷àðîâûâàòü, óâëåêàòü) et dit au praticien (è ãîâîðèò ïðàêòèêó /ïðàêòèêóþùåìó âðà÷ó/):

– Docteur, la gorge est trs irrite (äîêòîð, ãîðëî î÷åíü âîñïàëåíî; irriter – ðàçäðàæàòü) et le thermomtre indique 38,7 [trente-huit virgule sept] (è òåðìîìåòð ïîêàçûâàåò òåìïåðàòóðó 38,7).

– Nous allons voir cela (ñåé÷àñ ìû ýòî ïîñìîòðèì), dit le mdecin (ãîâîðèò âðà÷). Dshabillez-vous, Mademoiselle (ðàçäåâàéòåñü, áàðûøíÿ).

– Mais ce n’est pas ma fille (íî ýòî íå ìîÿ äî÷ü) qui est souffrante (êòî áîëüíà: «ñòðàäàþùàÿ»; souffrir – ñòðàäàòü, ìó÷èòüñÿ; ÷óâñòâîâàòü áîëü), docteur, c’est moi (ýòî ÿ)!

– Oh, pardon (èçâèíèòå)! Alors ouvrez la bouche (òîãäà îòêðîéòå ðîò; ouvrir) et faites: Aaah… (è ñêàæèòå: «ñäåëàéòå»: Àààà)

Une grosse dame arrive chez le mdecin avec sa ravissante fille et dit au praticien:

– Docteur, la gorge est trs irrite et le thermomtre indique 38,7.

– Nous allons voir cela, dit le mdecin. Dshabillez-vous, mademoiselle.

– Mais ce n’est pas ma fille qui est souffrante, docteur, c’est moi!

– Oh, pardon! Alors ouvrez la bouche et faites: Aaah…

C’est un gars qui tlphone au numro 555-5555 [cinq…] (ïàðåíü çâîíèò ïî íîìåðó 555-5555).

Il y a un autre homme qui rpond (äðóãîé ìóæ÷èíà îòâå÷àåò).

– Oui, bonjour… est-ce que j’ai bien appel (ÿ äåéñòâèòåëüíî ïîçâîíèë) au 555-5555?

– Oui, c’est bien le 555-5555 (äà, ýòî äåéñòâèòåëüíî…).

– Etes-vous bien certain (âû òî÷íî óâåðåíû) que je suis au 555-5555?

– Oui, oui, vous tes bien au 555-5555… (âû äåéñòâèòåëüíî…) Que puis-je faire pour vous (÷òî ÿ ìîãó äëÿ âàñ ñäåëàòü; pouvoir – ìî÷ü)?

– Pourriez-vous appeler les pompiers pour moi s’il vous plat (íå ìîãëè áû âû ïîçâîíèòü çà ìåíÿ ïîæàðíèêàì1, ïîæàëóéñòà; pompe, f – íàñîñ; ïîìïà; pomper – êà÷àòü íàñîñîì)… J’ai le doigt pris (ó ìåíÿ çàñòðÿë ïàëåö: «ÿ èìåþ ïàëåö âçÿòûì»; prendre – áðàòü) dans la roulette du tlphone (â òåëåôîííîì áàðàáàíå)…

C’est un gars qui tlphone au numro 555-5555.

Il y a un autre homme qui rpond.

– Oui, bonjour… est-ce que j’ai bien appel au 555-5555?

– Oui, c’est bien le 555-5555.

– Etes-vous bien certain que je suis au 555-5555?

– Oui, oui, vous tes bien au 555-5555… Que puis-je faire pour vous?

– Pourriez-vous appeler les pompiers pour moi s’il vous plat… J’ai le doigt pris dans la roulette du tlphone…

«Chrie (äîðîãàÿ), dit le mari sa femme (ãîâîðèò ìóæ ñâîåé æåíå), j’ai invit un mon ami (ÿ ïðèãëàñèë îäíîãî ìîåãî äðóãà) venir chez nous (ê íàì â ãîñòè: «ïðèéòè ê íàì») ce soir (ñåãîäíÿ âå÷åðîì)

«Quoi (÷òî)? Mais tu es fou (òû ñ óìà ñîøåë: «òû ñóìàñøåäøèé»), ma parole (ìîå /÷åñòíîå/ ñëîâî = åé-áîãó)? La maison est un vrai foutoir (äîì – íàñòîÿùèé êàâàðäàê; foutoir, m – êàâàðäàê, áîðäåëü, áåñïîðÿäîê; foutre – /ãðóáî, óñò./ çàíèìàòüñÿ ëþáîâüþ, ñð. àíãë. to fuck), je n’ai pas eu le temps (ÿ íå óñïåëà: «ó ìåíÿ íå áûëî âðåìåíè») d’aller faire les courses (ñõîäèòü çà ïîêóïêàìè), il n’y a plus un seul couvert propre (íåò íè îäíîãî ÷èñòîãî ñòîëîâîãî ïðèáîðà; couvert, m – ïðèáîð /ñòîëîâûé/: mettre le couvert – íàêðûâàòü /íà/ ñòîë; couvrir – ïîêðûâàòü, íàêðûâàòü) et je ne me sens pas du tout d’humeur (è ó ìåíÿ âîâñå íåò íàñòðîåíèÿ: «íå ÷óâñòâóþ ñåáÿ âîâñå â íàñòðîåíèè»; se sentir – ÷óâñòâîâàòü ñåáÿ; humeur, f – íàñòðîåíèå; /óñò./ æèäêîñòü, âëàãà /â îðãàíèçìå/) faire la cuisine (çàíèìàòüñÿ ãîòîâêîé/ãîòîâèòü: «äåëàòü êóõíþ»)

«Je sais tout a (ÿ âñå ýòî çíàþ; savoir)

«Dans ce cas (â ýòîì ñëó÷àå = òîãäà), peux-tu m’expliquer (ìîæåøü ëè òû ìíå îáúÿñíèòü) pourquoi tu l’as invit souper (ïî÷åìó òû ïðèãëàñèë åãî íà óæèí)

«Parce que ce pauvre gars (ïîòîìó ÷òî ýòîò áåäíûé ïàðåíü) est en train de songer se marier (êàê ðàç ïîäóìûâàåò æåíèòüñÿ; songer – ìå÷òàòü; äóìàòü, ïîìûøëÿòü; tre en train de faire qch – êàê ðàç äåëàòü ÷òî-ëèáî; train, m – õîä, äâèæåíèå; ïîåçä; traner – òÿíóòü, òàùèòü)

«Chrie, dit le mari sa femme, j’ai invit un mon ami venir chez nous ce soir.»

«Quoi? Mais tu es fou, ma parole? La maison est un vrai foutoir, je n’ai pas eu le temps d’aller faire les courses, il n’y a plus un seul couvert propre et je ne me sens pas du tout d’humeur faire la cuisine!»

«Je sais tout a!»

«Dans ce cas, peux-tu m’expliquer pourquoi tu l’as invit souper?»

«Parce que ce pauvre gars est en train de songer se marier.»

Une femme demande son mari (æåíà ñïðàøèâàåò ó ìóæà):

– Quel type de femme (êàêóþ æåíó: «êàêîé òèï æåíû») prfrerais-tu avoir (òû áû ïðåäïî÷åë èìåòü; prfrer)? Une femme trs intelligente (æåíó î÷åíü óìíóþ) o une femme trs belle (èëè æåíó î÷åíü êðàñèâóþ)?

– Mais aucune des deux, chrie (íî íèêàêóþ èç äâóõ). Tu sais bien (òû ïðåêðàñíî çíàåøü) que c’est toi que j’ai choisi (÷òî ÿ âûáðàë èìåííî òåáÿ: «÷òî ýòî òû, êîãî ÿ âûáðàë»; choisir).

Une femme demande son mari:

– Quel type de femme prfrerais-tu avoir? Une femme trs intelligente ou une femme trs belle?

– Mais aucune des deux, chrie. Tu sais bien que c’est toi que j’ai choisi.

Un fils demande son pre (ñûí ñïðàøèâàåò ñâîåãî îòöà) comment tre heureux (êàê áûòü ñ÷àñòëèâûì).

– Fiston (ñûíîê), il faut avoir (íóæíî èìåòü) une bonne sant (õîðîøåå çäîðîâüå) et un bon travail (è õîðîøóþ ðàáîòó).

– Tu as eu cela (ó òåáÿ áûëî ýòî), toi, papa?

– Moi? J’ai toujours eu une bonne sant (ó ìåíÿ âñåãäà áûëî õîðîøåå çäîðîâüå) parce que ta mre a toujours eu un bon travail (ïîòîìó ÷òî ó òâîåé ìàìû âñåãäà áûëà õîðîøàÿ ðàáîòà)!

Un fils demande son pre comment tre heureux.

– Fiston, il faut avoir une bonne sant et un bon travail.

– Tu as eu cela, toi, papa?

– Moi? J’ai toujours eu une bonne sant parce que ta mre a toujours eu un bon travail!

Une blonde rencontre une de ses copines blondes (áëîíäèíêà âñòðå÷àåò îäíó èç ñâîèõ ïîäðóã-áëîíäèíîê):

– Je viens d’avoir un test de grossesse (ÿ òîëüêî ÷òî ïðîøëà òåñò íà áåðåìåííîñòü).

– C’tait dur, les questions (ñëîæíûå áûëè âîïðîñû: «ýòî áûëî òðóäíî – âîïðîñû»; dur – òâåðäûé, æåñòêèé; òðóäíûé, ñëîæíûé)?

Une blonde rencontre une de ses copines blondes:

– Je viens d’avoir un test de grossesse.

– C’tait dur les questions?

C’est une blonde qui va chez le coiffeur (áëîíäèíêà èäåò ê ñâîåìó ïàðèêìàõåðó) avec son walkman sur les oreilles (ñ ïëååðîì íà óøàõ; oreille, f). Alors le coiffeur lui demande (òîãäà ïàðèêìàõåð ïðîñèò åå) de l’enlever (ñíÿòü åãî) plusieurs fois (íåñêîëüêî ðàç), mais elle refuse chaque fois (íî êàæäûé ðàç îíà îòêàçûâàåòñÿ). Le coiffeur finit par lui demander pourquoi (ïàðèêìàõåð â êîíöå êîíöîâ ñïðàøèâàåò, ïî÷åìó; finir par qch – êîí÷èòü òåì, ÷òî…), elle rpond (îíà îòâå÷àåò):

– Mon copain m’a dit (ìîé ïðèÿòåëü ñêàçàë ìíå) si je l’enlevais (åñëè ÿ ñíèìó åãî), ben je mourrais (íó, ÿ óìðó; mourir)!

Au bout de 20 [vingt] minutes (êîãäà ïðîøëî: «ïî îêîí÷àíèè» 20 ìèíóò), la blonde accepte d’enlever son walkman (áëîíäèíêà ñîãëàøàåòñÿ ñíÿòü ñâîé ïëååð) et elle tombe raide morte (è îíà ïàäàåò çàìåðòâî; raide – íåãèáêèé, íåñãèáàþùèéñÿ, íåãíóùèéñÿ; îäåðåâåíåëûé; ñðàçó; êðóòî; tomber raide mort – óïàñòü çàìåðòâî; mort – ìåðòâûé). Le coiffeur, ne comprenant pas (ïàðèêìàõåð, íå ïîíèìàÿ; comprendre), met le walkman dans ses oreilles et entend (âñòàâëÿåò â óøè ïëååð è ñëûøèò; mettre – ïîìåùàòü; êëàñòü, ñòàâèòü; entendre): «inspire, expire, inspire… (âäîõíè, âûäîõíè, âäîõíè…)»

C’est une blonde qui va chez le coiffeur avec son walkman sur les oreilles. Alors le coiffeur lui demande de l’enlever plusieurs fois, mais elle refuse chaque fois. Le coiffeur finit par lui demander pourquoi, elle rpond:

– Mon copain m’a dit si je l’enlevais, ben je mourrais!

Au bout de 20 minutes, la blonde accepte d’enlever son walkman et elle tombe raide morte. Le coiffeur, ne comprenant pas, met le walkman dans ses oreilles et entend: «inspire, expire, inspire…»

Une blonde se commande une pizza (áëîíäèíêà çàêàçûâàåò ñåáå ïèööó). La cuisinire lui demande (êóõàðêà/ïîâàð ñïðàøèâàåò ó íåå; cuisiner – ãîòîâèòü /åäó/):

– Voulez-vous (âû õîòèòå) que je vous la dcoupe (÷òîáû ÿ âàì åå ðàçäåëèëà; dcouper – ðàçðåçàòü) en six ou en douze parts (íà øåñòü èëè äâåíàäöàòü ÷àñòåé)?

– Oh, en six, s’il vous plat (íà øåñòü, ïîæàëóéñòà)! Je ne serai jamais capable (ÿ íèêîãäà íå ñìîãó: «íå áóäó ñïîñîáíà») de manger douze morceaux (ñúåñòü äâåíàäöàòü êóñêîâ).

Une blonde se commande une pizza. La cuisinire lui demande:

– Voulez-vous que je vous la dcoupe en six ou en douze parts?

– Oh, en six, s’il vous plat! Je ne serai jamais capable de manger douze morceaux.

Une jeune fille, qui vient de se prsenter (äåâóøêà, êîòîðàÿ òîëüêî ÿâèëàñü) l’examen du permis de conduire (íà ýêçàìåí ïî âîæäåíèþ; le permis de conduire – âîäèòåëüñêèå ïðàâà: «ðàçðåøåíèå âîäèòü»; permettre – ðàçðåøàòü), rentre chez elle (âîçâðàùàåòñÿ ê ñåáå äîìîé). Son pre la questionne (îòåö åå ñïðàøèâàåò):

– Alors, comment a c’est bien pass (èòàê, êàê âñå ïðîøëî)?

– J’en sais rien (ÿ íè÷åãî îá ýòîì íå çíàþ).

– Comment a (êàê æå òàê)! L’examinateur ne t’a rien dit (ýêçàìåíàòîð òåáå íè÷åãî íå ñêàçàë)?

– Mais non, rien (íåò, íè÷åãî)… On l’a transport directement l’hpital (åãî îòâåçëè ïðÿìî â áîëüíèöó)!

Une jeune fille, qui vient de se prsenter l’examen du permis de conduire, rentre chez elle. Son pre la questionne:

– Alors, comment a c’est bien pass?

– J’en sais rien.

– Comment a! L’examinateur ne t’a rien dit?

– Mais non, rien… On l’a transport directement l’hpital!

Dans un bureau de tabac (â òàáà÷íîì êèîñêå), une jeune fille achte un paquet de cigarettes (äåâóøêà ïîêóïàåò ïà÷êó ñèãàðåò) et sort un billet de 100 [cent] euros (è äîñòàåò áàíêíîòó â 100 åâðî; sortir – âûõîäèòü; äîñòàâàòü /íàðóæó/). La caissire l’examine (êàññèðøà ðàññìàòðèâàåò åå; caisse, f – êàññà) et dit (è ãîâîðèò):

– Ce billet est faux, mademoiselle (ýòà êóïþðà ôàëüøèâàÿ, áàðûøíÿ).

– Le salaud (íåãîäÿé)! s’crie la fille (âîñêëèöàåò äåâóøêà; crier – êðè÷àòü; s’crier – âîñêëèöàòü). Mais alors (íî òîãäà = çíà÷èò)… C’tait un viol (ýòî áûëî èçíàñèëîâàíèå; violer – íàðóøàòü, ïðåñòóïàòü: violer la loi – íàðóøèòü çàêîí; íàñèëîâàòü)!

Dans un bureau de tabac, une jeune fille achte un paquet de cigarettes et sort un billet de 100 euros. La caissire l’examine et dit:

– Ce billet est faux, mademoiselle.

– Le salaud! s’crie la fille. Mais alors… C’tait un viol!

Un gars entre dans un bar (ïàðåíü çàõîäèò â áàð) et demande (è ñïðàøèâàåò):

– Quelqu’un aurait-il perdu un gros rouleau d’argent (êòî-íèáóäü òåðÿë êðóïíûé ñâåðòîê äåíåã), avec un lastique enroul autour (îáìîòàííûé ðåçèíêîé âîêðóã: «ñ ðåçèíêîé, îáìîòàííîé âîêðóã»)?

Un client s’approche et dit (îäèí èç ïîñåòèòåëåé ïîäõîäèò è ãîâîðèò):

– C’est moi, c’est moi (ýòî ÿ! ýòî ìîå!)!

– Tenez (äåðæèòå; tenir), j’ai retrouv l’lastique (ÿ îáíàðóæèë/íàøåë ðåçèíêó; retrouver – ñíîâà íàõîäèòü, íàõîäèòü ïîòåðÿííîå; trouver – íàõîäèòü)…

Un gars entre dans un bar et demande:

– Quelqu’un aurait-il perdu un gros rouleau d’argent, avec un lastique enroul autour?

Un client s’approche et dit:

– C’est moi, c’est moi!

– Tenez, j’ai retrouv l’lastique…

Un homme demande un avocat (ìóæ÷èíà ñïðàøèâàåò ó àäâîêàòà): «Quel est le montant de vos honoraires (êàêîâà ñóììà âàøèõ ãîíîðàðîâ)

L’avocat lui rpond (àäâîêàò åìó îòâå÷àåò) qu’il est de 250 [deux cent cinquante] euro (÷òî îíà ñîñòàâëÿåò 250 åâðî) pour trois questions (çà òðè âîïðîñà).

L’homme lui demande alors (òîãäà ìóæ÷èíà åãî ñïðàøèâàåò): «N’est-ce pas un peu excessif (íå ñëèøêîì ëè ýòî ÷åðåñ÷óð: «÷ðåçìåðíî»)?» et l’avocat lui rpond (à àäâîêàò îòâå÷àåò åìó):

«Non. Quelle est votre troisime question (êàêîâ âàø òðåòèé âîïðîñ)

Un homme demande un avocat: «Quel est le montant de vos honoraires?»

L’avocat lui rpond qu’il est de 250 euro pour trois questions.

L’homme lui demande alors: «N’est-ce pas un peu excessif?» et l’avocat lui rpond:

«Non. Quelle est votre troisime question?»

Deux ivrognes (äâîå ïüÿíèö) dambulent dans les rues de Paris (ðàçãóëèâàþò ïî óëèöàì Ïàðèæà). Soudain (âíåçàïíî/âäðóã), l’un d’eux aperoit un agent de police (îäèí èç íèõ çàìå÷àåò ïîëèöåéñêîãî: «àãåíòà ïîëèöèè»; apercevoir).

– Pardon, Monsieur… hips… l’agent (èçâèíèòå, ãîñïîäèí… èê… ïîëèöåéñêèé). Le 72 [soixante-douze] est dj pass (íîìåð 72 óæå ïðîøåë)?

– A cette heure-ci (â ýòîò ÷àñ), il n’y a plus de bus, voyons (àâòîáóñîâ áîëüøå íåò)! rpond schement le policier (ñóõî îòâå÷àåò ïîëèöåéñêèé; sec – ñóõîé; sche – ñóõàÿ).Allez, circulez (äàâàéòå, ïðîõîäèòå/íå çàäåðæèâàéòåñü; circuler – öèðêóëèðîâàòü, äâèãàòüñÿ, ïåðåäâèãàòüñÿ)!

– Et le 86 [quatre-vingt-six], il est pass (à 86-é ïðîøåë)?

– Je vous dis (ÿ âàì ãîâîðþ) qu’il n’y a plus de bus (áîëüøå íåò àâòîáóñîâ)!

– Il est pass, alors (îí ïðîøåë, çíà÷èò)?

– Oui! le 86 est pass (86-é ïðîøåë)! et le 72 aussi (è 72-é òîæå)!

– Et le 27 [vingt-sept]?

– Le 27 aussi (è 27-é òîæå)! et le 12 [douze], et le 32 [trente-deux]! Je vous dis de circuler (ÿ ãîâîðþ âàì ïðîõîäèòü)! Il n’y a plus de bus (áîëüøå íåò àâòîáóñîâ)!

Alors (òîãäà) l’ivrogne se tourne vers son copain (ïüÿíèöà ïîâîðà÷èâàåòñÿ ê ñâîåìó òîâàðèùó):

– Viens ici (èäè ñþäà; venir – ïðèõîäèòü), mon pote (ïðèÿòåëü/òîâàðèù). On peut traverser (ìîæíî ïåðåõîäèòü).

Deux ivrognes dambulent dans les rues de Paris. Soudain, l’un d’eux aperoit un agent de police.

– Pardon, Monsieur… hips… l’agent. Le 72 est dj pass?

– A cette heure-ci, il n’y a plus de bus, voyons! rpond schement le policier. Allez, circulez!

– Et le 86, il est pass?

– Je vous dis qu’il n’y a plus de bus!

– Il est pass, alors?

– Oui! le 86 est pass! et le 72 aussi!

– Et le 27?

– Le 27 aussi! et le 12, et le 32! Je vous dis de circuler! Il n’y a plus de bus!

Alors l’ivrogne se tourne vers son copain:

– Viens ici, mon pote. On peut traverser.

Un gars va dans un bar (ïàðåíü èäåò â áàð) et commande une bire (è çàêàçûâàåò ïèâî). Il la boit d’un coup (îí âûïèâàåò åãî çàëïîì; boire – ïèòü; coup, m – óäàð, òîë÷îê; ïîñòóïîê; äåéñòâèå; ãëîòîê), regarde dans sa poche (ñìîòðèò â ñâîé êàðìàí) et commande une autre (è çàêàçûâàåò åùå îäíî). Il la boit (îí åãî âûïèâàåò) et regarde dans sa poche (è ñìîòðèò â ñâîé êàðìàí). Aprs avoir fait a plusieurs fois (ñäåëàâ ýòî = ïîñëå òîãî, êàê îí ïðîäåëàë ýòî íåñêîëüêî ðàç), le serveur lui demande (îôèöèàíò ñïðàøèâàåò åãî):

– Pourquoi aprs chaque bire (ïî÷åìó ïîñëå êàæäîé êðóæêè ïèâà) vous regardez dans votre poche (âû ñìîòðèòå â ñâîé êàðìàí)?

Le mec lui rpond (ïàðåíü åìó îòâå÷àåò):

– Dans ma poche (â ìîåì êàðìàíå) il y a une photo de ma femme (ëåæèò ôîòîãðàôèÿ ìîåé æåíû), quand je la trouverai belle (êîãäà ÿ íàéäó åå êðàñèâîé), je rentrerai la maison (ÿ âåðíóñü äîìîé).

Un gars va dans un bar et commande une bire. Il la boit d’un coup, regarde dans sa poche et commande une autre. Il la boit et regarde dans sa poche. Aprs avoir fait a plusieurs fois, le serveur lui demande:

– Pourquoi aprs chaque bire vous regardez dans votre poche?

Le mec lui rpond:

– Dans ma poche il y a une photo de ma femme, quand je la trouverai belle, je rentrerai la maison.

C’est une blonde qui passe dans l’mission (áëîíäèíêà ïðèíèìàåò ó÷àñòèå â ïåðåäà÷å) «Qui veut gagner des millions («Êòî õî÷åò âûèãðàòü ìèëëèîíû»)». Bon, elle arrive la premire question (è âîò îíà ïîäõîäèò ê ïåðâîìó âîïðîñó) et elle bloque dj (è îíà óæå òîðìîçèò: «áëîêèðóåòñÿ»). Elle dit (îíà ãîâîðèò): «Bon, je vais utiliser le joker tlphonique (ëàäíî, ÿ èñïîëüçóþ «òåëåôîííûé äæîêåð» /çâîíîê äðóãó/).» Elle tlphone Pierre et lui dit (îíà çâîíèò Ïüåðó è ãîâîðèò):

«Bonjour, Pierre (çäðàâñòâóé, Ïüåð), je coince l (ÿ òóò çàñòðÿëà/ïîïàëà â òóïèê; coincer – âáèâàòü êëèíüÿ; çàêðåïëÿòü; çàñòðåâàòü) et je voudrais savoir (è ÿ õîòåëà áû çíàòü): ton avis (ïî-òâîåìó: «ïî òâîåìó ìíåíèþ»), j’utilise le 50/50 [cinquante] (ìíå èñïîëüçîâàòü 50 íà 50) ou l’avis du public (èëè ïîìîùü àóäèòîðèè: «ìíåíèå ïóáëèêè»)

C’est une blonde qui passe dans l’mission «Qui veut gagner des millions». Bon, elle arrive la premire question et elle bloque dj. Elle dit: «Bon, je vais utiliser le joker tlphonique.» Elle tlphone Pierre et lui dit:

«Bonjour, Pierre, je coince l et je voudrais savoir: ton avis, j’utilise le 50/50 ou l’avis du public?»

Deux blondes se rendent un salon de cosmtiques (äâå áëîíäèíêè îòïðàâëÿþòñÿ â êîñìåòè÷åñêèé ñàëîí; se rendre).

La premire (îäíà: «ïåðâàÿ»), en voyant son i dans le miroir (óâèäåâ ñâîå èçîáðàæåíèå â çåðêàëå; voir; i, f – èçîáðàæåíèå; êàðòèíêà), dit l’autre (ãîâîðèò äðóãîé):

– Hey!!! Il me semble (ìíå êàæåòñÿ) que je connais cette fille-l (÷òî ÿ çíàêîìà ñ âîí òîé äåâóøêîé; connatre – çíàòü, áûòü çíàêîìûì)!!!

La deuxime (âòîðàÿ), en prenant le miroir (áåðÿ çåðêàëî; prendre) et en se regardant (è ñìîòðÿ íà ñåáÿ/ñìîòðÿñü) son tour (â ñâîþ î÷åðåäü) lui rpond (åé îòâå÷àåò):

– Ben, voyons (íó-êà ïîñìîòðèì; ben – ëàäíî, ÷òî æ)!!! Tu es donc bien niaiseuse (òû è ïðàâäà äåéñòâèòåëüíî ãëóïàÿ; niaiseux – ãëóïûé; niais – ãëóïûé, ãëóïîâàòûé, ïðîñòîâàòûé), c’est moi (ýòî /æå/ ÿ)!!!

Deux blondes se rendent un salon de cosmtiques.

La premire, en voyant son i dans le miroir, dit l’autre:

– Hey!!! Il me semble que je connais cette fille-l!!!

La deuxime, en prenant le miroir et en se regardant son tour, lui rpond:

– Ben, voyons!!! Tu es donc bien niaiseuse, c’est moi!!!

Deux ouvriers (äâîå ðàáî÷èõ) prennent leur pause de midi (äåëàþò: «áåðóò» ñâîé: «èõ» îáåäåííûé ïåðåðûâ), le premier dit (ïåðâûé ãîâîðèò):

– Tu connais Victor Hugo (òû çíàåøü Âèêòîðà Ãþãî; connatre – çíàòü, áûòü çíàêîìûì)?

– Non.

– T’as tort (òû íå ïðàâ; t’as = tu as), tu devrais suivre les cours du soir (òû äîëæåí áû ïîñåùàòü âå÷åðíèå êóðñû; suivre – ñëåäîâàòü; ñëåäèòü, âíèìàòåëüíî ñëóøàòü; ïîñåùàòü /ëåêöèè/)!

Le lendemain (íà ñëåäóþùèé äåíü), toujours le mme (âñå òîò æå):

– Tu connais Albert Einstein (òû çíàåøü Àëüáåðòà Ýíøòåéíà)?

– Non.

– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir!

Le surlendemain, a recommence (÷åðåç äåíü íà÷èíàåòñÿ çàíîâî; surlendemain, m – ïîñëåçàâòðàøíèé äåíü):

– Tu connais Karl Marx (òû çíàåøü Êàðëà Ìàðêñà)?

– Non.

– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir!

Alors l’autre (òîãäà âòîðîé) tout nerv dit (ñîâñåì ðàçäðàæåííûé, ãîâîðèò):

– Et toi, tu connais Jean Dupont?

– Non???

– T’as tort (òû íå ïðàâ), c’est celui (ýòî òîò) qui baise ta femme (êòî òðàõàåò òâîþ æåíó) pendant que tu suis les cours du soir (â òî âðåìÿ êàê òû ïîñåùàåøü âå÷åðíèå êóðñû)!

Deux ouvriers prennent leur pause de midi, le premier dit:

– Tu connais Victor Hugo?

– Non.

– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir!Le lendemain, toujours le mme:

– Tu connais Albert Einstein?

– Non.

– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir!

Le surlendemain, a recommence:

– Tu connais Karl Marx?

– Non.

– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir!

Alors l’autre tout nerv dit:

– Et toi, tu connais Jean Dupont?

– Non???

– T’as tort, c’est celui qui baise ta femme pendant que tu suis les cours du soir!

C’est un couple riche (áîãàòàÿ ïàðà). Le mari dit sa femme (ìóæ ãîâîðèò æåíå):

– Chrie, vu nos problmes d’argent (ââèäó íàøèõ ôèíàíñîâûõ ïðîáëåì; problme, m; argent, m – ñåðåáðî; äåíüãè), je pense (ÿ äóìàþ) que tu devrais (÷òî òû äîëæíà áû; devoir – áûòü äîëæíûì) apprendre repasser le linge (íàó÷èòüñÿ ãëàäèòü áåëüå) pour qu’on puisse conomiser de l’argent (÷òîáû ìû ìîãëè ñýêîíîìèòü äåíüãè) sur la femme de mnage (íà äîìðàáîòíèöå; mnage, m – äîìàøíåå õîçÿéñòâî; äîìîâîäñòâî).

Sa femme rpond (åãî æåíà îòâå÷àåò):

– Et toi, tu devrais apprendre baiser (òû äîëæåí áû íàó÷èòüñÿ òðàõàòüñÿ) pour qu’on puisse conomiser sur le jardinier (÷òîáû ìû ìîãëè ñýêîíîìèòü íà ñàäîâíèêå; pouvoir)!

C’est un couple riche. Le mari dit sa femme:

– Chrie, vu nos problme d’argent, je pense que tu devrais apprendre repasser le linge pour qu’on puisse conomiser de l’argent sur la femme de mnage.

Sa femme rpond:

– Et toi, tu devrais apprendre baiser pour qu’on puisse conomiser sur le jardinier!

Le patient est en train de serrer chaleureusement la main de son mdecin (ïàöèåíò êàê ðàç ãîðÿ÷î æìåò ðóêó ñâîåìó âðà÷ó; chaleureux – ãîðÿ÷èé, ïûëêèé; chaleur, f – òåïëîòà; òåïëî; æàð; ïûë); et voulant lui tmoigner toute sa gratitude (è, æåëàÿ ïîêàçàòü åìó âñþ ñâîþ ïðèçíàòåëüíîñòü) il ajoute (îí äîáàâëÿåò):

– Puisque maintenant nous sommes devenus de bons amis (ïîñêîëüêó òåïåðü ìû ñòàëè õîðîøèìè äðóçüÿìè), et puisque vous m’avez tir d’un bien mauvais pas (è ïîñêîëüêó âû ìåíÿ î÷åíü âûðó÷èëè: «âûòàùèëè èç âåñüìà ïëîõîãî øàãà»), je ne vous offenserai pas (ÿ âàñ íå îáèæó) en vous payant cette visite (îïëà÷èâàÿ ýòîò âèçèò)… mais je veux (íî ÿ õî÷ó) que vous sachiez (÷òîáû âû çíàëè; savoir – çíàòü) que je vous ai couch sur mon testament (÷òî ÿ âàñ âïèñàë â ñâîå çàâåùàíèå)!

Le mdecin rpond (âðà÷ îòâå÷àåò):

– C’est trs gentil vous (ýòî î÷åíü ëþáåçíî ñ âàøåé ñòîðîíû). Euh, pendant que j’y pense (ý-ý-ý, ïîêà ÿ îá ýòîì äóìàþ = ïîêà ÿ íå çàáûë), pouvez-vous me montrer (ìîãëè áû âû ìíå ïîêàçàòü) nouveau (ñíîâà, åùå ðàç) l’ordonnance que je vous ai faite (ðåöåïò, êîòîðûé ÿ âàì âûïèñàë), j’aimerais y faire un petit changement (ÿ áû õîòåë ñäåëàòü òàì ìàëåíüêîå èçìåíåíèå; changer – ìåíÿòü).

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Óçíàéòå, ïî÷åìó ñèëüíàÿ ðàáî÷àÿ ïàìÿòü – ýòî ëó÷øå, ÷åì âûñîêèé IQ! Àâòîðàìè ýòîé êíèãè ÿâëÿþòñÿ âåä...
 ó÷åáíîì ïîñîáèè ðàññìàòðèâàþòñÿ îñíîâíûå âîïðîñû ñîöèàëüíîé ïñèõîëîãèè, ðàñêðûòà ñóùíîñòü îñíîâíûõ...
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Äîíîâàí Êðèä – áûâøèé àãåíò ÖÐÓ, îõîòíèê íà òåððîðèñòîâ, à íûíå – âûñîêîêëàññíûé íàåìíûé óáèéöà. Ýòî...